Petit topo vite fait sur le trajet vers Lisbonne, et sur ce que j'ai trouvé en arrivant!
Le trajet, à l'origine, on devait partir de Marseille dimanche matin, tracer, prendre un café avec 2 collègues du master à Barça, et dormir à Madrid. Nuit qui s'est finalement rabattue sur Saragosse, à cause d'un départ plutot en fin de matinée.
Et comme au final, on est parti en début d'aprèm (voire même milieu d'aprèm), avec 2 Erasmus à déposer à Barça... on y a dormi.
Le lendemain, départ 10h pour environ 12-13h de route, plus imprévus. Comme cette heure perdue à... Saragosse (le 3e point vert), à midi, pour trouver de quoi manger (accessoirement, un Carrefour). Et arrivée vers 22h30-23h, parce que circuler dans Lisboa avec un GPS qui n'a pas l'air de connaitre les mises à jour, bah c'est pas évident.
Qu'es-ce qu'on retient de ce trip?
Faire de l'essence aux arnavaux, c'est mort. Surtout le dimanche. L'espagne, c'est la mort: 1km après la frontière, on est passé de joli soleil à orage (de loin, ça avait un petit côté Mordor). Barça, avec la trame Cerda, c'est cool, mais un feu rouge tout les 125m, c'est con. Saragosse, faut éviter, les routes là bas sont ubuesques. L'Espagne, c'est une ville, 100 bornes de rien avec une route toute droite, et une 2e ville. Et entre deux, du vent à décorner les bœufs. D'ailleurs, sur les autoroutes Espagnoles / Portugaises, le lundi, ya pas un rat. Et les autoroutes du Portugal, c'est le tiers monde.
Une fois arrivés, on est allés se poser 5 min avant de ressortir prendre des mojitos à 2€, et des demis à 1€. Puis retour aux apparts, dont voici un aperçu. Pour info, d'ordinaire, c'est 150/nuit/appart. On s'en sort à 60 là (la proprio est fan d'architecture, et on a eu un excellent négociateur. Voici un petit aperçu, le premier soir, avec une mauvaise lumière. Je devrais en refaire, je sais.
Voila, le lit avec le gros sac n'est pas le mien, je dors dans l'autre (forcément, je m'étais installé). Oui la cuisine est tout-équipée, sur le mur de la grande chambre, ce ne sont pas des crucifix, mais des cintres.
True story.
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